Ces docteurs qui ont choisi Ionis-STM... - Ionis-STM          
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L'école de la double compétence
Technologique et manageriale

Ces docteurs qui ont choisi Ionis-STM…

Il y a 10 ans, Ionis-STM créait les post-masters, un cycle court de formation professionnelle à destination des étudiants ayant validé un cursus Bac+5 ou plus. Parmi eux, on compte quelques docteurs. Leur point commun ? L’envie qu’ils ont eu après leur thèse de se reconvertir vers les métiers de l’entreprise. Fadoua Bouchikhi, 28 ans, titulaire d’un doctorat en chimie organique biologique de l’université pharmacienne de Clermont Ferrand, a déjà une expérience de recherche et d’enseignement derrière elle : d’abord attachée temporaire d’enseignement et de recherche (ATER) à la faculté de pharmacie de Chatenay Mallabry, elle a ensuite été enseignant-chercheur à l’université de Paris Diderot et a enseigné à la faculté de médecine de Lariboisière. Fadoua a finalement décidé d’intégrer l’industrie pharmaceutique, « essentiellement en raison de la pénurie des débouchés en recherche fondamentale ». Pauline Ménager, titulaire d’un doctorat en virologie obtenu à l’université Pierre et Marie Curie, a réalisé après l’obtention de son diplôme qu’elle ne se projetait pas en tant que directrice de laboratoire : « Je souhaitais avoir une vision plus globale des innovations, bénéficier d’une prise de recul sur tout ce qui se développe ; conserver la valeur ajoutée de mes compétences scientifiques sans manquer d’air et en allant à la rencontre des gens».

Pour chacun de ces étudiants, le choix de Ionis-STM s’est révélé décisif. Fouad Megherbi, qui a accompli des études de médecine générale et est titulaire d’un certificat en recherche épidémiologique s’en explique : « J’avais besoin de comprendre le fonctionnement de l’entreprise que l’on n’aborde pas lorsque l’on fait des études de médecine. La formation proposée par Ionis-STM était tout à fait adaptée. J’y ai trouvé tout ce dont j’avais besoin : initiation au management et au marketing, au travail en groupe, transversalité. Ionis-STM m’a également permis d’établir une planification professionnelle et m’a donné un réseau. La formation a constitué pour moi une phase importante et décisive pour intégrer l’industrie pharmaceutique». Pauline Ménager a compris que, si elle souhaitait évoluer vers le secteur privé des biotechnologies, il lui fallait une formation complémentaire de sa formation académique : « la formation de Ionis STM a répondu à mes attentes. J’ai apprécié le suivi, les méthodes de travail en groupe, et la diversité des modules. L’école m’a donné une plus grande ouverture d’esprit sur le monde pharmaceutique. Elle m’a appris l’aspect commercial, la gestion de projet sur un mode entreprise, elle m’a permis de comprendre le fonctionnement d’une petite entreprise et de formaliser en un plan de carrière ce que je voulais faire ensuite ». Fadoua Bouchikhi relève que Ionis-STM est « l’une des rares écoles à proposer des formations pour des personnes issues de cursus en biologie ».

Qu’ils soient encore étudiants à l’école ou qu’ils évoluent à présent sur le marché du travail, la vie professionnelle de ces docteurs a pris un nouveau tournant : « Je viens de commencer mon stage début février chez Novartis Pharma dans le service formation et développement, j’ai travaillé sur une gamme d’ophtalmo. Les missions qui m’ont été attribuées jusqu’à présent se passent plutôt bien. On prépare tous les outils pédagogiques pour la force de vente qui va communiquer auprès des médecins. La dimension pédagogique dans un autre domaine que l’enseignement me plaît. En parallèle des missions, je suis amené à découvrir un peu tous les débouchés possibles. Un poste de chef de produit m’intéresserait vraiment», raconte Fadoua Bouchikhi, actuellement étudiante à l’école. Fouad Megherbi est à présent coach de médecin régional chez Sanofi Aventis et prépare des dossiers scientifiques auprès des leaders d’opinion. Quant à Pauline Ménager, à présent diplômée de Ionis-STM, elle explique : « Je travaille aujourd’hui en tant que manager of scientific affairs pour une start-up de biotechnologie et je m’occupe de la liaison entre l’équipe R&D en Europe et les Etats-Unis, où l’entreprise possède une filiale. J’apporte également un support scientifique à l’équipe marketing. Dans mon métier actuel, j’ai un retour sur investissement plus concret que dans la recherche ».

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