Les femmes de Ionis-STM : Sarah et Thiziri - Ionis-STM          
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L'école de la double compétence
Technologique et manageriale

Les femmes de Ionis-STM : Sarah et Thiziri

30 % des étudiants qui suivent les filières informatiques (Management & TIC et Management & Ingénierie Informatique) à Ionis-STM sont des étudiantes. Un chiffre qui va à l’encontre de la situation actuelle en France, où seulement 20 % des femmes s’orientent vers les métiers scientifiques après l’obtention du Baccalauréat, et représente une fierté pour l’école à l’heure où les entreprises peinent à recruter des profils féminins. Chaque mois, Ionis-STM vous propose donc de faire la connaissance de deux étudiantes et de découvrir leur parcours. Ce mois-ci, c’est Sarah Ignaccolo (promo 2015) et Thiziri Kellouche (promo 2014) qui se sont prêtées au jeu.

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Sarah

Des parcours loin d’être identiques…
Elles ont beau avoir choisi de suivre le Master 1 d’Ionis-STM pour acquérir une double compétence T.I.C. & Management, Sarah Ignaccolo et Thiziri Kellouche n’ont pas vraiment le même background. Si Sarah a fait « deux ans de prépa intégrée dans une école d’ingénieurs » et « un an de bachelor, toujours en informatique mais en alternance » avant d’intégrer Ionis-STM, Thiziri a un parcours nettement « moins technique ». Après le Bac, cette étudiante a réalisé « 4 années de licence » dans son pays d’origine, l’Algérie, avant de poursuivre une licence en France : « Avant de rallier Ionis-STM, j’avais effectué un stage dans le cadre de ma licence à la Société Générale, dans le service achat de prestations intellectuelles informatiques. D’où mon choix pour le Management des Systèmes d’information l’année dernière. »

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Thiziri

… mais une envie partagée !
Ce qui lie surtout les deux jeunes femmes, c’est une envie commune : celle de devenir chef de projets après l’obtention de leur diplôme. « J’aime bien la technique et ça m’a beaucoup intéressée de pouvoir comprendre comment cela se passait dans l’informatique, explique Sarah. Mais j’avais envie d’avoir ce côté management. Durant mon alternance, je faisais des tests fonctionnels d’applications mobiles sous la tutelle de mon chef de projets. J’ai donc pu voir comment son métier se déroulait et ça a confirmé mon choix. Pour cela, je dois être capable de parler avec ceux qui sont dans mon équipe et maîtriser leur langage afin de pouvoir les conseiller sur ce qu’ils doivent faire ou pas. » Le raisonnement est identique chez Thiziri. « J’avais un profil managérial mais aucune base en technique : pour moi, l’informatique, c’était juste un ordinateur pour me connecter à Internet, sourit-elle. A l’issue de ma première année à Ionis-STM, j’ai pu décrocher un stage à la DSI d’Orange et ma principale mission était d’aider à la refonte du système de pilotage de la production. Avoir eu la chance de faire du Java, d’entendre parler d’Unix et du langage C m’a permis de comprendre ces différents aspects et de ne pas être confrontée à une « langue étrangère » au sein de la société. Si on projette de faire de la gestion de projets et d’être amené à dialoguer avec des informaticiens, il faut assimiler le jargon informatique. »

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