L'insertion professionnelle des jeunes diplômés en question - Ionis-STM          
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L'école de la double compétence
Technologique et manageriale

L’insertion professionnelle des jeunes diplômés en question

D’après une étude* réalisée en 2013 par l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) sur la situation professionnelle des jeunes diplômés en 2012, il règne de fortes disparités en matière d’insertion sur le marché de l’emploi selon le cursus effectué par l’étudiant. Si l’on s’attarde sur la catégorie réunissant commerce, communication et marketing, les résultats sont encore plus criants. Ainsi, à la question de savoir quel est le réel taux d’insertion professionnelle d’un jeune diplômé après bac +5, il n’existe pas une seule réponse mais plusieurs.

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  •  95 % ** Ionis-STM
    La pédagogie développée par Ionis-STM permet à ses diplômés de trouver rapidement une place durable sur le marché de l’emploi. Cela porte ses fruits puisque 95 % de ses diplômés déclarent s’épanouir dans le monde professionnel un an après être sortis de l’école. Axée sur la double compétence, elle répond aux demandes des entreprises à la recherche de profils capables de comprendre autant les enjeux managériaux que les enjeux techniques et scientifiques. Une approche rare et adaptée qui en fait une réelle valeur ajoutée.

  • 45.82 % * Universités
    Moins d’un diplômé bac +5 sur deux (45.82 %) ayant choisi la voie universitaire a pu trouver un emploi conforme à ses attentes (c’est-à-dire non alimentaire) dans l’année qui a suivi la fin de ses études. Ce chiffre peut s’expliquer par l’organisation des universités qui apporte aux étudiants un bagage théorique complet mais encore trop insuffisant pour des employeurs de plus de plus à la recherche de profils ayant une connaissance accrue des pratiques et compétences requises en entreprise.

  • 58.06 % * Ecoles de commerce
    Toujours très bien réputées, les écoles de commerce n’offrent pourtant pas le rendement espéré si l’on en croit l’étude de l’Apec. Avec un taux d’insertion professionnel de 58.06 % pour ses diplômés bac+5 un an après la remise de leur titre, la formation de ces écoles, bien que performante, ne semble pas répondre suffisamment aux critères établis par les entreprises. Trop généralistes et pas assez spécialisés, les profils apparaissent malheureusement comme trop souvent similaires aux yeux des employeurs. Difficile ainsi de tirer son épingle du jeu.


Ionis-STM, des emplois et des salaires qui comptent
Les postes occupés par les récents diplômés de Ionis-STM sont des exemples supplémentaires – et concrets – quant aux avantages de la double compétence et aux portes qu’elle ouvre.

integration2013.jpg• 27 % d’entre eux sont ainsi actuellement consultants fonctionnel ou technique
• 23 % sont ingénieurs / architectes technique, 18 % sont chefs ou directeurs de projet
• 11 % sont directeurs / responsables ou managers au sein de leur entreprise
• 15 % sont chefs de produit et 3 % sont ingénieurs d’affaires.

Des fonctions à responsabilités qui sont souvent accompagnées d’un salaire attractif et en perpétuelle progression. De ce fait, si en moyenne un diplômé de Ionis-STM commence à toucher près de 38 000 euros pour sa première année en tant que professionnel, cette somme se rapproche des 49 000 euros cinq ans plus tard.

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* Source : Etude « APEC 2013 jeune diplômés 2012 situations professionnelles 2013 » (télécharger en PDF)
** Source : Ionis-STM. Enquête menée auprès de 347 diplômés.

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