« Une expérience très enrichissante qu'on ne retrouve pas forcément dans d'autres écoles » Découvrez Mathieu Laffitte (Ionis-STM promo 2014), major de la filière Ingénierie Informatique & Management - Ionis-STM          
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L'école de la double compétence
Technologique et manageriale

« Une expérience très enrichissante qu’on ne retrouve pas forcément dans d’autres écoles » Découvrez Mathieu Laffitte (Ionis-STM promo 2014), major de la filière Ingénierie Informatique & Management

Pendant l’été, Ionis-STM met en avant les majors de sa promotion 2014. Après Seif El Din Salem (Management & Systèmes d’information), Vincent Monetti (Énergie & Management) et Fabien Boulle (Biotechnologies & Management), découvrez le parcours de Mathieu Laffitte, major de la filière Ingénierie Informatique & Management.

ionis-stm_management_ingenierie_informatique_cursus_etudes_major_promo2014_parcours_retour_02.jpgQu’est-ce que représente Ionis-STM pour toi ?
La double compétence. C’est d’ailleurs ça qui m’avait attiré à l’école. Le fait de pouvoir continuer à faire de la technique était important pour moi, tout comme la possibilité de rajouter d’autres notions à mon cursus en matière de management, de finance, etc.

Que faisais-tu avant de rejoindre l’école ?
J’étais étudiant à Epitech. J’y ai passé trois années à faire de la technique pure en informatique et c’était assez complet. Vers la fin de ma 3e année, je m’étais dit que je voulais rester dans la technique tout en variant un petit peu ma formation. Comme Epitech et Ionis-STM font partie du Groupe IONIS, je connaissais déjà l’école de nom. J’en ai ensuite discuté avec un ami d’Epitech qui l’avait rejointe et cela m’a décidé à m’y inscrire. J’ai ainsi intégré l’école en 4e année au sein de la filière Management & Ingénierie Informatique. De mon point de vue, c’était la filière la plus riche techniquement, ce qui me permettait de ne pas trop m’éloigner de mon premier amour qu’était le développement.

Qu’est-ce qui t’a le plus marqué durant ces deux années passées à Ionis-STM ?
Il y a bien évidemment les deux stages effectués mais surtout la possibilité que j’ai eu de faire du tutorat pendant ma dernière année et donc d’animer des séances de TD en informatique – notamment consacrés à la programmation pour les étudiants de 3e et 4e années. C’est une expérience très enrichissante qu’on ne retrouve pas forcément dans d’autres écoles. Se retrouver à la place de l’enseignant n’est pas quelque chose de commun mais cela oblige à être techniquement irréprochable et permet de développer d’autres compétences, notamment des qualités pédagogiques.

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Mathieu Laffitte et Fabrice Bardèche, vice-président exécutif de IONIS Education Group

En quoi consistaient ces stages ?
Le stage de 4e année, je l’ai réalisé en tant que développeur chez Ysance, une SSII spécialisée en business intelligence, en e-business et en cloud computing qui a déjà accueilli d’autres étudiants ou Anciens de Ionis-STM par le passé. Là-bas, j’ai travaillé dans le Web et plus précisément l’e-commerce. C’était très intéressant et complétait plutôt bien les connaissances que je venais d’acquérir au sein de l’école. Pour mon autre stage, cette fois en 5e année, j’étais toujours développeur mais cette fois au ministère de la Défense. Là encore, mes activités étaient principalement dans le Web.

Crois-tu qu’il y ait un fort esprit promo à Ionis-STM ?
Je le pense. Bien qu’il y ait quatre filières différentes et que les matières de notre spécialisation nous séparaient parfois en 5e année, il y avait toujours une belle cohésion entre les étudiants. Le fait de mener des projets ensemble aidait aussi beaucoup.

Justement, la pédagogie de l’école repose sur le fait de devoir réaliser de nombreux projets. Lequel as-tu le plus apprécié ?
D’une manière générale, j’apprécie de toute façon cette pédagogie par projets car cela ne résume pas à de la restitution basique des connaissances. Cela dit, celui que je retiens le plus facilement, c’est sûrement celui qui fut le plus conséquent pour notre filière et qui nous a occupé une bonne partie de l’année. Il fallait étudier la mise en place d’un parc d’éoliennes en décomposant le projet en plusieurs parties. Cela demandait l’utilisation d’un large panel de compétences pour prévoir les risques et gérer les équipes.

Que fais-tu aujourd’hui ?
J’ai été embauché directement par le ministère de la Défense – la décision de me garder avait même été prise avant la fin du stage. J’y officie en tant qu’ingénieur recherche et développement. Ce qui me plaît dans ce travail, c’est de continuer à avoir un travail assez technique tout en devant réfléchir à d’autres problématiques comme doivent le faire les ingénieurs.

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